A ce jour, il reste sept pays avec lesquels il faut s'entendre sur le remboursement de la dette soviétique.
A partir de là, il n'y aura pas de différence entre la dette soviétique et la dette russe et les créanciers comprendront que la dette de l'URSS et celle de la Fédération de Russie sont la même chose, estime le vice-ministre.
Une fois ce problème résolu, il sera possible d'opérer avec plus d'efficacité la conversion de la dette en des investissements. Une entente existe d'ores et déjà pour employer 10% de la dette envers le Club de Paris à la réalisation de projets de conversion de dettes. D'autre part, des progrès ont été constatés dans la progression vers la réalisation de projets de conversion avec l'Italie, l'Espagne et d'autres pays.
La régularisation définitive de la dette soviétique aura une "importance énorme pour la réalisation de ces projets", a souligné le premier vice-ministre russe des Finances.