Le premier résultat est la création d'un biodétecteur qui permet de localiser les êtres vivants ensevelis sous les décombres consécutifs à un tremblement de terre, un effondrement d'édifices ou une explosion.
Cet appareil portable appelé "détecteur de la respiration et des battements du coeur" a été montré vendredi à une conférence de presse à Tokyo. Il a fallu six ans pour le réaliser. Il sera mis en vente, au Japon et dans d'autres pays, aux organismes de lutte contre les conséquences des catastrophes.
Pour financer les technologies russes les plus avancées, un fonds, d'un montant de 500 000 dollars à la première étape, sera constitué en avril ou en mai par plusieurs sociétés japonaises avec participation d'investisseurs russes, a été annoncé lors de la conférence de presse.
