"Notre position reste invariable : les contrats sont à respecter, les dettes sont à reconnaître et à rembourser", a-t-il déclaré mardi, interrogé par des journalistes.
L'Irak a toujours été un pays reconnu par la communauté internationale, mais aujourd'hui il n'y a personne à Bagdad avec qui on pourrait parler de dettes. La communauté internationale ne s'est pas encore réunie non plus pour débattre du problème des dettes irakiennes, a-t-il ajouté.
La question du rééchelonnement des celles-ci pourra être évoquée à l'avenir au sein du Club de Paris, certains pays pourront concéder des annulations unilatérales, a supposé le chef du cabinet.
Quant aux contrats signés avec les sociétés russes en Irak, "nous allons, naturellement, défendre nos intérêts et les intérêts de nos compagnies" après la formation d'une administration irakienne, a encore indiqué Mikhaïl Kassianov.