Parmi les secteurs qui sont mentionnés dans la "feuille de route", on trouve l'énergie, les transports, les constructions automobiles, l'industrie du combustible et la métallurgie, l'industrie chimique, les services financiers, l'agriculture et les télécommunications.
Selon Victor Khristenko, les premières mesures sérieuses sont prévues dans les recherches spatiales, un domaine important pour les deux parties. La Russie et l'Europe envisagent également d'élargir leur coopération dans l'écologie, l'harmonisation des standards, la protection des droits de propriété intellectuelle, le perfectionnement de la législation antimonopole, la réglementation douanière, etc.
Le ministre a également relevé que l'intégration entre la Russie et l'Union européenne serait effectuée en premier lieu sur la base des processus d'investissement et de coopération industrielle. "Seuls les grands investissements d'infrastructure et industriels pourront créer une base pour une croissance durable du commerce bilatéral et des changements progressifs dans la structure de l'économie et des rapports commerciaux, nécessaires pour assurer une amélioration durable de la compétitivité internationale de la Russie et de l'UE", a dit Victor Khristenko.
Selon lui, il s'agit avant tout des secteurs tels que l'énergie, les transports, les télécommunications et les finances.
Le ministre a relevé que ce sont les hommes d'affaires qui devront jouer un rôle primordial dans le développement de ces secteurs.
Aux dires de Victor Khristenko, l'objectif politique principal est aujourd'hui de créer un mécanisme permanent de dialogue entre les hommes d'affaires intéressés sur la formation d'un espace économique unique.