Jiří Rusnok estime que le temps est venu de reprendre les discussions sur cette question afin d’influencer l’opinion publique, qui est fortement opposée au passage à l’euro. Les craintes des citoyens sont liées à la possible menace sur la souveraineté du pays.
« Nous devons être plus proches de nos partenaires commerciaux clefs, qui soit se trouvent déjà dans la zone euro, soit s’y dirigent », ajoute le premier ministre.