«LégisTatives» sur Twitter: bisou de Macron, palette de Cambadélis, électeurs à «vomir»

© REUTERS / Christian HartmannEmmanuel Macron
Emmanuel Macron - Sputnik Afrique
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Le meilleur moyen pour bien démarrer sa semaine est une bonne dose d’humour. Découvrez les meilleures plaisanteries des twittos sur le premier tour des élections législatives. Esprit ou politesse du désespoir?

Les élections législatives sont devenues le sujet le plus discuté sur les réseaux sociaux par les Français. Les internautes de la Ve République se sont massivement mobilisés pour commenter l'évènement politique sur le Web… un fait étonnant au regard du taux d'abstention record de 51,29 %.

Ainsi, le hashtag #Legistatives2017 (oui, avec un « t » au lieu d'un « l ») s'est hissé en tête des tendances sur Twitter.

De nombreux internautes ont notamment avoué avoir préféré profiter du week-end et du beau temps au lieu de remplir leur devoir civique.

D'autres n'ont pas pu s'empêcher d'ironiser sur le nombre d'électeurs qui ont décidé de ne pas apporter leur obole à l'avenir politique de l'Hexagone.

Les sentiments profonds éprouvés par Emmanuel Macron envers ses partisans ont également fait le buzz sur le Web.

Malheureusement, Henri Guaino, écrasé dans a 2e circonscription de Paris, n'a pas eu une affection débordante pour les électeurs qui l'ont boudé, les trouvant « à vomir ».
« L'électorat qui a voté aujourd'hui dans la 2e circonscription de Paris est, à mes yeux, à vomir. Vous m'entendez bien, à vomir », bref et instructif.

Twitter abondait également en clichés détournés de la palette rouge de Jean-Christophe Cambadélis, le premier secrétaire du PS qui a occupé pendant 10 ans le siège de député de la 16e circonscription de Paris, avant d'en être détrôné dimanche.

Manuel Valls, arrivé en tête de la première circonscription de l'Essonne, a eu aussi droit à son petit moment de gloire sur Twitter.

La défaite du Parti socialiste et de leurs alliés, qui n'ont obtenu que 9,51 % des voix, a stimulé l'imagination des Français, qui se sont évertués à inventer la meilleure blague sur la « Bérézina » de l'ancien parti majoritaire au Palais Bourbon.

Enfin, le Falcon présidentiel que le couple Macron a emprunté pour aller voter au Touquet, dans le Pas-de-Calais, clôt ce palmarès des plaisanteries sur les « légistatives ».

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