L'opération «L'addition Macron» vient d'être lancée chez Les Républicains. Selon le parti de droite, les contribuables français seront lourdement impactés par la politique économique et sociale du Président de la République.
«On détourne l'attention avec des enregistrements illégaux, mais la réalité se rappelle chaque jour aux Français: leur pouvoir d'achat est attaqué par la politique du gouvernement. Les retraités et les classes moyennes font les frais d'un pouvoir qui les pressure», a tweeté le maire de Chalon-sur-Saône et l'un des porte-paroles des LR, Gilles Platret.
Les retraités, les agriculteurs, les actifs, les entreprises… #LAdditionMacron est salée! pic.twitter.com/GiHNKZnMla
— Valérie Boyer (@valerieboyer13) 19 февраля 2018 г.
Premier étape de l'opération: distribuer des tracts édités à 500.000 exemplaires qui se veulent être une parodie de tickets restaurant de l'établissement «Chez Macron». «Avec Macron, c'est vous qui payez l'addition», dit le slogan de campagne.
📢 1 er Tract des #LR sous la présidence wauquiez via l Opinion pic.twitter.com/dounVaRB8x
— Dominique LUNEL (@DominiqueLUNEL) 19 февраля 2018 г.
Le parti de droite a fourni une série d'exemples pour illustrer son point de vue. Le premier est un «couple de jeunes retraités» percevant chacun une pension mensuelle de 1.000 euros nets. Ils verront, selon les calculs des Républicains, leur pouvoir d'achat amputé de 646 euros en 2018, entre hausse de la CSG, baisse de 150 euros d'une taxe d'habitation «qui correspond à une médiane de 500 euros», hausse des prix de l'essence, du tabac, et de la fiscalité sur le fioul.
#LAdditionMacron
— nomade (@Terranomades) 20 февраля 2018 г.
Le retraite qui touche 1800 net sa femme 1700 net et qui pleure a la radio parce que Macron leur prend 90€ par mois 😨😨
Mais on reve!!
Alors qu il a contribue pendant 40 ans au systeme…et veut pas partager 😠
Le ticket de caisse de l'établissement «Chez Macron» détaille de plus le niveau de la dette publique, l'augmentation de la CSG pour les retraités et les hausses d'impôts.
Nombreuses sont les réactions sur le Net, certains soutenant la campagne de LR et dénonçant la politique du gouvernement, et d'autres fustigeant l'initiative.
Depuis son élection @EmmanuelMacron a instauré 8 nouveaux impôts et taxes. Alors que le gouvernement avait promis une baisse des prélèvements pour 2018, les impôts augmenteront de 4,5 milliards cette année. Autant de pouvoir d'achat perdu par les Français! #LAdditionMacron
— Jean COTE Reconverti (@Ccye3Jean) 19 февраля 2018 г.
L’opération de com de @lesRepublicains avec le hashtag #LAdditionMacron est totalement dépassée par les frasques de leur président. Le timing n’aurait pas pu être pire.
— Maxime (@Maxime_Nlp) 19 февраля 2018 г.
Il est temps que les masques tombent et que les Français découvrent la vérité:
— Cyril Martins (@CyrilMartins31) 19 февраля 2018 г.
Avec Macron, c’est vous qui payez l’addition. #LAdditionMacron pic.twitter.com/DIZKWrk6a2
#lesrepublicains cherchent des idées et leur voie en puisant dans le projet de #DLF. Ils ont redécouvert la Nation et sur le pouvoir d'achat ils copient #DupontAignan et le simulateur #LaVraieFactureMacron en créant #LAdditionMacron.
— Pascal Lesellier (@LesellierPascal) 19 февраля 2018 г.
C'est ridicule ce que font les républicains… #LAdditionMacron.
— Iduckiii (@Iduckiii2) 19 февраля 2018 г.
Mais moins que l’aurait été l’addition Fillon. Ouf!
— faure Brigitte (@abfaure) 19 февраля 2018 г.
Comment faire un flop avec l'opération #LAdditionMacron: normal quand les LR n'ont pas réglé leurs comptes, que leur candidat Fillon a quitté le bateau sans la payer, l'addition et alors que #Wauquiez paye très cher l'addition de ses accusations bidon. Merci pour le Président
— CloLorenter (@Claurenter) 19 февраля 2018 г.
Les républicains créent le hashtag #LAdditionMacron juste après l'histoire #Wauquiez histoire de noyer un peu le poisson…
— Sumaia Bartali (@sumsumbrtl) 19 февраля 2018 г.
#LAdditionMacron:
— Shadowerci 📝 🏭 (@shado_werci) 19 февраля 2018 г.
C’est Jean-Luc qui en parle le mieux…. pic.twitter.com/6sUmh1FzeC.