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L’Algérie et la France ont signé, ce 29 octobre à Paris, à l’occasion de la 5e session du Comité mixte économique franco-algérien, un accord pour le lancement d’un fonds d’investissement conjoint afin de financer la création d’entreprises productives dans les deux pays.
À l'issue de la 5e session du Comité mixte économique franco-algérien (COMEFA) qui s'est tenue le 29 octobre à Paris, un accord relatif à la création d'un fonds d'investissement bilatéral entre l'Algérie et la France a été signé par le ministre algérien des Affaires étrangères Abdelkader Messahel et le ministre français de l'Économie et des Finances, Bruno Le Maire. C'est ce qu'a indiqué le site d'information Algérie 1 dans son édition du même jour.
Le concept de ce fonds d'investissement commun aux deux pays a été discuté lors de la visite, le 6 décembre 2017, à Alger, du Président Emmanuel Macron. Sa mission est de financer les investissements des Algériens qui souhaitent entreprendre en France et ceux des Français qui veulent créer des entreprises en Algérie.
D'autres accords devraient être aussi signés à l'occasion de cette 5e session du COMEFA notamment dans les domaines de la formation professionnelle, de l'agriculture et de la gestion des risques industriels.
Selon une note d'information couvrant l'événement publiée sur le site officiel du Quai d'Orsay, le volume des échanges commerciaux entre l'Algérie et la France a atteint les 8,3 milliards d'euros en 2017. Ceci s'ajoute aux plus de 2,6 milliards d'euros d'investissements directs et près de 500 entreprises françaises implantées en Algérie. Selon la même note, cette dernière «est un partenaire de tout premier plan de la France en Méditerranée, en Afrique et dans le monde arabe».
Pour donner un coup d'accélérateur aux investissements français directs en Algérie, il y a des obstacles réglementaires et administratifs qu'il faudrait lever. C'est ce qu'a expliqué ce 17 octobre Jean-Louis Chaussade, le directeur général du groupe Suez et président du Conseil des chefs d'entreprises France Péninsule arabique du Medef International, cité par le site d'information algérien Tout Sur l'Algérie (TSA). Pour ce capitaine français de l'industrie, la règle 49/51 est le principal obstacle à l'installation d'entreprises françaises de haute technologie en Algérie.
Concernant les freins administratifs, M. Chaussade a notamment mis l'accent sur les problèmes «concernant l'importation d'équipements pour produire en Algérie». Le deuxième obstacle administratif soulevé par le directeur général de Suez est la question du transfert à l'étranger de dividendes, qui selon lui, pose également problème aux entreprises françaises.
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