«J'en ai marre de voir le patriotisme échouer en France. J'en ai marre de le voir se dévoyer dans des stratégies électoralistes de court terme, comme le fait totalement le Rassemblement national.»
Le parti de Marine Le Pen s'appelait encore Front national quand, en septembre 2017, Florian Philippot, alors numéro 2 du parti, en a claqué la porte. Dans la foulée de sa démission, il a lancé la formation politique des Patriotes. Crédité de 1% des intentions de vote, le jeune parti s'est fixé pour objectif 5% des suffrages et l'obtention d'élus. Si la sortie de l'Union européenne et de l'euro fait toujours peur à une majorité de Français, Florian Philippot veut mettre le sujet au cœur du débat politique des prochains mois. «40% des Français sont désormais pour le Frexit, ce chiffre me met beaucoup de baume au cœur, car il n'a jamais été aussi haut» se félicite-t-il. Mais comment convaincre les 60% restants? Nous avons reçu le président des Patriotes afin qu'il expose ses arguments. Interview.
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