Après les critiques sur sa tenue venant des eurodéputés Nadine Morano et Jordan Bardella, la porte-parole du gouvernement a opté pour des habits beaucoup plus modestes. Pour sa dernière conférence de presse en date, elle est venue habillée en blanc et portant ses cheveux attachés en arrière.
La sobriété vestimentaire a gagné @SibethNdiaye ...
— Danièle Deschamps (@DD75007) 24 juillet 2019
Bravo 👏 Ce n'est pas si difficile ! pic.twitter.com/FpFDOTsWcS
Un tel changement a créé le buzz sur les réseaux sociaux, les internautes saluant majoritairement cette «sobriété vestimentaire».
Voilà au moins une tenue correcte qui lui va et cheveux coiffés idem je valide mieux que son jogging et tee-shirt limite
— Jeanine elmarbouh (@jelmarbouhma) 25 juillet 2019
Et bien voilà !!!! Bien coiffée bien habillée !!!! C'est aute chose quand méme !!!!!
— martine (@beatrix160851) 24 juillet 2019
Les utilisateurs de Twitter ont noté un progrès digne de sa position et l’ont appelé à continuer dans cette voie.
Enfin !!! dès vêtements corrects pour la fonction !
— VéroniqueLaurent (@LAURENTvronique) 24 juillet 2019
Certains ont même trouvé qu’un tel style lui donnait plus de charme.
Et la coiffure , en plus elle est beaucoup plus jolie comme cela 😑
— Hatara Blandine (@BlandineHatara) 24 juillet 2019
Franchement Sibeth, le blanc vous sied à merveille! Ne trouvez-vous pas?
— Alemmi Patriot (@alemmi7) 24 juillet 2019
D’autres ont fait des commentaires humoristiques, prétendant qu’une telle situation n’était pas possible en réalité.
C’est un montage 😂
— mephisto1966 (@mephisto1966) 24 juillet 2019
La France est devenue une dictature vestimentaire !!
— Lili. Perles (@LiliPerles) 24 juillet 2019
Critique «raciste»
La porte-parole du gouvernement français a été critiquée pour sa manière de s’habiller par l’eurodéputée LR Nadine Morano, laquelle avait évoqué des «inepties débitées souvent en tenue de cirque».
De tels commentaires ont été jugés racistes et ont indigné une partie de la classe politique, y compris deux ministres.
Sibeth Ndiaye a réagi en indiquant qu’«il faut essayer d'élever le débat et ne pas se rouler dans la fange avec ceux qui s'y complaisent».