«N’importe quel enfant qui a accès à Internet» peut tomber «sur ces images, puisque le contenu n’est pas assez bien protégé.»
«Cela fait 15 ans» que Thérèse Hargot alerte sur les «dégâts gigantesques» de la pornographique sur «cette nouvelle génération». L’exposition à ce type de contenus n’est pas anodine pour la sexologue, auteur d’Une jeunesse sexuellement libérée (Éd. Albin Michel). En déstructurant le rapport des plus jeunes au sexe, elle devient «une forme d’abus sexuel», «de viol de l’imaginaire», selon elle. La sexologue milite pour «du contenu payant et encadré, ce qui est une nécessité.»
Des jeunes, mais pas que. Thérèse Hargot témoigne d’une «dépendance» diffuse au porno dans notre société, ce qu’elle appelle «le nouvel opium du peuple». Pour la sexologue, en consommer «une fois par jour, par an ou par mois, le problème est le même!» Ce ne serait pas la fréquence, mais la pornographie en elle-même qui poserait problème. Car «elle est mauvaise» pour la santé mentale de chaque spectateur, est-elle convaincue.
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