Le secrétaire général explique le recul de la violence par l'introduction d'un nouveau contingent de paix international dirigé par le États-Unis.
Selon les Nations Unies, 90 "actes hostiles" ont été signalés en Irak sur la période septembre-novembre 2007 contre 200 au cours de l'été. Ban Ki-moon a également souligné le cessez-le-feu décrété par l'Armée du Mahdi et la participation de la population au processus de paix par le biais des Conseils du Réveil. Toutefois, il est impossible de maintenir cette tendance uniquement par des méthodes musclées, selon le secrétaire général.
Les progrès politiques tant espérés n'ont pas encore été accomplis. Les difficultés rencontrées lors de l'adoption d'actes législatifs clés témoignent de l'absence de consensus sur le caractère et la structure de l'État irakien, selon le rapport.