Cette synergie s'explique "par un intérêt stratégique et économique réciproque", a-t-il souligné lors d'une conférence de presse.
S'agissant de l'élection présidentielle de mars prochain en Russie, M. Zarifi s'est limité à déclarer: "Quel que soit le prochain président en Russie, nos relations ne changeront pas: nous sommes des partenaires stratégiques".
Le ministre s'est félicité du chiffre d'affaires des échanges russo-tadjiks qui a atteint 857 millions de dollars en 2007, soit une progression de 75,2% par rapport à 2006.
M. Zarifi s'est cependant plaint des désaccords avec le géant de l'aluminium russe Rusal qui sont à l'origine des retards accumulés dans la construction de la centrale hydraulique de Rogoun, entamée en 1976.