Samedi dernier, l'ayatollah Khamenei a prononcé un discours traditionnel à l'occasion de la fin du mois de jeûne du ramadan dans une mosquée de la capitale.
"Les pays de la région doivent mener des politiques qui permettraient d'éviter la montée des tensions et les conflits (…). L'Egypte souligne une fois de plus le caractère inadmissible de toute ingérence dans les affaires intérieures des pays arabes frères", poursuit le porte-parole.
Les déclarations d'Ali Khamenei ont été auparavant critiquées par le secrétaire d'Etat américain John Kerry, qui a qualifié ces propos d'"extrêmement troublants".
Le Guide suprême de la révolution iranienne avait notamment indiqué que Téhéran ne s'alignerait certainement pas sur la politique de Washington au Proche-Orient.
Le numéro un iranien, connu pour ses positions conservatrices, a alors salué cette annonce, tout en se montrant prudent sur ses chances de succès. Selon lui, les responsables politiques iraniens devaient examiner de près le texte afin de s'assurer notamment que les capacités de défense du pays ne seraient pas remis en cause.
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