Selon le Die Welt du dimanche 13 décembre, il a déclaré que "l'espace Schengen ne pourrait pas exister longtemps sans exercer le contrôle sur ses frontières, si le système de protection des frontières extérieures ne fonctionne pas".
Thomas de Maizière a rappelé que l'éventualité de la fermeture des frontières avait été examinée lors des débats de septembre. A l'époque, il a été décidé de renoncer à l'idée d'arrêter l'accueil des réfugiés en Allemagne. Il a cependant refusé de faire des prévisions sur le nombre de migrants qui pourraient arriver en Allemagne en 2016.
Selon les prévisions du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, le nombre de migrants au cours de ces deux prochaines années pourrait atteindre 850.000 personnes. Actuellement, la Grèce à elle seule voit affluer 4.000 étrangers par jour.