L'Airbus A320 avait disparu des écrans radars avant de tomber en mer dans la nuit du 18 au 19 mai dernier, et seule l'étude des boîtes noires, donc des enregistreurs de vol est capable de faire connaître les raisons précises de la catastrophe, annonce l'AFP se référant à des sources proches de l'enquête.
La France et l'Egypte ont signé des accords avec deux sociétés françaises spécialisées dans la recherche en eaux profondes, Alseamar et Deep Ocean Search. La profondeur dans la zone des recherches des boîtes noires s'élève à environ 3.000 mètres. Cette zone se trouve à quelque 290 kilomètres au nord de la côté égyptienne.Bien que l'hypothèse de l'attentat ait été mise en avant par la partie égyptienne, elle a ensuite cédé sa place à celle de l'incident technique. Les informations sur les alertes automatiques émises par l'avion deux minutes avant sa chute ont influencé ce changement de piste.
Un Airbus A320 d'EgyptAir assurant le vol MS804 entre Paris et Le Caire avait disparu au-dessus de la Méditerranée dans la nuit du 18 au 19 mai dernier. 66 personnes, dont 10 membres d'équipage, se trouvaient à bord de l'avion.
Les opérations de recherche avaient été menées par les forces navales et aériennes égyptiennes, françaises, grecques et américaines. Le 20 mai dernier, les militaires égyptiens avaient annoncé avoir découvert des débris d'avion et des effets personnels des passagers. Selon le ministère égyptien de l'Aviation civile, il n'y a pas de survivants.
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