«C'est un combat rapproché très violent», a indiqué M. Work, le commandant de la 82e brigade aéroportée déployée en Irak en janvier dernier.
«Quand les balles ne suffisent plus, les commandants pourraient recourir à des matières hautement explosives, tels que des obus de mortiers. (…) Ainsi, il y a une sorte de règle numéro un consistant à ce qu'on détermine où se trouve à ce moment-là l'autre gars, si bien que l'effet mortel sera dirigé vers la cible voulue et non pas vers un autre joueur de votre équipe», a-t-il expliqué.
Pour rappel, la bataille de Mossoul dure depuis plusieurs semaines, et les forces de sécurité ont lancé un nouvel assaut le 18 juin.Jeudi, elles ont notamment repris les ruines de la mosquée al-Nouri, où le calife autoproclamé de Daech, Abou Bakr al-Baghdadi, avait fait son unique apparition publique.
Une victoire symbolique pour les forces irakiennes, même si les djihadistes ont dynamité ce joyau historique célèbre ainsi que le minaret penché surnommé «la tour de Pise irakienne».
En 2014, Daech avait saisi de larges pans de territoires en Irak, mais les forces de sécurité irakiennes, soutenues par une coalition internationale menée par les États-Unis, ont peu à peu reconquis ces secteurs aux djihadistes.
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