Annoncé après un tête-à-tête entre le Président russe et son homologue américain à Hambourg, ce document s'est attiré les foudres d'Israël, qui s'est insurgé contre la présence iranienne près de ses frontières, écrivait hier le journal Haaretz, citant le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou.
Suite à cette publication, M. Lavrov a tenu à rappeler qu'Israël avait été mis au courant des accords conclus par la Russie, les États-Unis et la Jordanie et que les intérêts de l'État Hébreu avaient été pris en considération.
«Nous avons (…) réalisé un travail préparatoire avec tous les parties concernées, y compris avec Israël. Nous partons donc du fait que nos collègues israéliens étaient parfaitement au courant du contenu de ces accords», a indiqué M. Lavrov.
«Je peux garantir que la partie américaine et nous avons tout fait afin de respecter pleinement les intérêts israéliens en matière de sécurité», a-t-il poursuivi.Israël, tout en déclarant sa non-ingérence dans le conflit syrien, reconnaît néanmoins avoir mené des dizaines d'opérations dans le pays voisin afin de riposter aux tirs visant son territoire ou aux tentatives d'acheminement d'armes aux combattants du Hezbollah, soutien du Président Bachar el-Assad en Syrie. En 2006, durant un mois, Israël a mené une guerre contre le Hezbollah, tuant plus de 1.200 Libanais, dont la plupart étaient des civils.
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