«Aujourd'hui, beaucoup de choses sont vendues et achetées sur la scène internationale, mais la souveraineté du Liban n'est pas à vendre», a déclaré le diplomate lors d'une conférence de presse à Moscou.
M.Bassil a aussi déclaré résister à une ingérence provenant de l'étranger.
«Nous rejetons toute ingérence de tout État étranger dans les affaires intérieures du Liban, qu'importe le pays dont il s'agit. Si quelqu'un s'y essaye, nous répondrons», a-t-il ajouté.
Le Président libanais, Michel Aoun, a accusé mercredi l'Arabie saoudite de retenir en otage son Premier ministre, Saad Hariri. Le dirigeant du mouvement Hezbollah, Hassan Nasrallah, a exprimé la même opinion en déclarant que «le chef du gouvernement libanais était détenu en Arabie saoudite, on lui interdisait jusqu'à présent de rentrer au Liban».
Suite au déclenchement de la crise, le Premier ministre libanais a été invité par Emmanuel Macron à venir en France avec sa famille. Le Président libanais a annoncé que Saad Hariri serait samedi 18 novembre à Paris où il resterait quelques jours avec sa famille et puis retournerait à Beyrouth.
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