«La possession des monnaies virtuelles présente des risques élevés et est sujette à la spéculation, car il n'y a pas d'autorité qui en assume la responsabilité, il n'existe pas d'administrateur officiel et il n'y aucun actif sous-jacent qui garantit sa valeur», a indiqué la Bank Indonesia (BI) dans un communiqué diffusé vendredi soir.
La Banque souligne que les cryptomonnaies peuvent notamment être utilisées pour le blanchiment d'argent et le financement des activités terroristes, ce qui risque de saper la stabilité du système financier international et d'entraîner des pertes humaines.Auparavant, le ministre sud-coréen de la Justice Park Sang-ki a annoncé que son pays allait proposer une loi visant à interdire les plateformes d'échange de cryptomonnaies, faisant plonger le bitcoin de 20% et l'ether de 24% sur les places coréennes.
Début janvier, le grand mufti d'Égypte a énoncé une fatwa contre le bitcoin, jugeant les cryptomonnaies incompatibles avec les règles de l'économie islamique.
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