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La question de la réforme institutionnelle de l’Union africaine, l’une des priorités de l’organisation continentale, est la raison de la visite qu’effectue depuis le 18 juin le Haut Représentant de l’Union à Alger, pour discuter des propositions du Président Paul Kagamé concernant ce sujet. L’Algérie a, elle aussi, sa vision sur cette réforme.
Dans le cadre de sa mission de réforme des institutions et du mode de fonctionnement de l'Union africaine (UA), Donald Kaberuka, le Haut Représentant de l'UA, est en visite à Alger, depuis le 18 juin, pour s'entretenir avec les autorités algériennes sur les propositions du Président rwandais Paul Kagamé, le président en exercice de l'UA, concernant la réforme de l'organisation panafricaine.
Le responsable africain s'est entretenu, le 18 juin, avec le ministre algérien des Finances, Abderrahmane Raouya, avec qui il a évoqué les propositions portant notamment «sur la rationalisation des modes de gestion et de l'action de l'organisation continentale et des nouvelles modalités de son financement», a souligné le communiqué du ministère des Finances, cité par le journal Jeune Afrique dans son édition du 19 juin.
Lors du 30e sommet des chefs d'État et de gouvernement de l'UA qui s'est tenu le 28 janvier 2018 à Addis-Abeba, la capitale de l'Éthiopie, le Premier ministre algérien, Ahmed Ouyahia, en sa qualité de représentant du Président algérien, Abdelaziz Bouteflika, a déclaré que l'Algérie «partage l'impératif d'une réforme institutionnelle et structurelle de l'UA», précisant que «le contenu de cette réforme devrait bénéficier de l'adhésion la plus large de l'ensemble des États membres», selon l'Algérie Presse Service (APS). «La mécanique financière de l'organisation devrait tenir compte d'un minimum d'équilibre entre l'ensemble des États membres et de leurs capacités économiques», a-t-il ajouté.
Lors du 28e sommet de l'Union africaine, le 29 janvier 2017, à Addis-Abeba, l'ancien ministre algérien des Affaires étrangères et de la coopération internationale, Ramtane Lamamra, avait détaillé la vision de son pays concernant le processus de réforme de l'organisation panafricaine. Il s'agit, pour lui, de donner à l'UA les moyens de répondre aux aspirations des peuples du continent en matière de développement et d'intégration.
La réforme «ne doit pas toucher aux principes fondamentaux de l'Union mais plutôt à son fonctionnement technique», avait déclaré à la presse M.Lamamra. «Ces réformes doivent être pratiques et techniques et non pas politiques», a-t-il ajouté, en précisant qu'il «ne s'agit pas d'une réforme fondamentale qui touchera les objectifs et les principes de l'Union mais plutôt de la révision du fonctionnement technique de l'organisation et de ses structures pour améliorer leur rendement».
À titre d'exemple, le ministre algérien avait indiqué que le Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l'UA ne figurait pas dans l'Acte constitutif de l'organisation panafricaine, mais qu'il y avait juste un protocole relatif au CPS ajouté à cet Acte. «Maintenant que l'expérience a prouvé que le CPS était un organe essentiel, certainement des dispositions vont être introduites dans l'Acte constitutif», a-t-il souligné.
L'Union africaine (UA) est souvent sévèrement critiquée pour ses lourdeurs bureaucratiques, sa dépendance financière aux bailleurs de fonds internationaux, ses difficultés pour la mise en œuvre des décisions, ainsi que sa faible capacité à se remettre en question.
Lors du 27e sommet de l'UA à Kigali, au Rwanda, en juillet 2016, Paul Kagamé a été chargé, par les chefs d'États et de gouvernements africains, de réfléchir à une réforme institutionnelle de l'organisation.
Le rapport généré par le Président rwandais concernant cette réforme, que Le Monde Afrique dans son édition du 30 janvier 2017 affirme avoir consulté, dresse un bilan sévère: «nous avons une organisation dysfonctionnelle, dont la valeur pour nos États membres est limitée, qui a peu de crédibilité auprès de nos partenaires internationaux, et en laquelle nos citoyens n'ont pas confiance».
Les propositions pour la réforme de l'UA, selon le même journal, consistent en: «une meilleure division du travail entre la Commission, les communautés économiques régionales et les États membres, la transformation du Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (NEPAD) en agence de développement de l'UA, le renforcement des compétences du président de la Commission, la mise en œuvre immédiate de la Taxe Kaberuka de 0,2% sur les importations et le renforcement des sanctions pour les pays qui ne paient pas leur contribution, entre autres».
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