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Le 14 novembre, lors du débat sur la loi de finances 2019, le député franco-marocain, M’jid El-Guerrab, a plaidé la cause des demandeurs de visas algériens, dont des chefs d’entreprises, qui subissent des restrictions inexpliquées.
Lors de la discussion de la loi de finances 2019 le 14 novembre à l'Assemblée nationale, posant une question au ministre des Affaires étrangères concernant l'action extérieure de l'État, le député franco-marocain M'jid El-Guerrab a plaidé en faveur des demandeurs de visas algériens en relevant des traitements restrictifs à leur égard de la part des consulats de France dans ce pays.
Tout en déplorant la baisse du budget des missions françaises à l'étranger et le plan de réduction du nombre de salariés qui leur est prévu dans le cadre de cette loi, alors que les actes administratifs et les demandes de visas explosent, en citant le Maroc et l'Algérie à titre d'exemple, le député a affirmé qu'il est «confronté à un vrai mécontentement de la part de mes amis algériens et algériennes qui souhaitent venir en France — depuis des années, ils viennent en France — et aujourd'hui, à dossier équivalent, on leur refuse la possibilité de passer quelques jours dans notre beau pays.» «J'ai rencontré par exemple le forum des chefs d'entreprise qui m'a fait part de son incompréhension, pour ne pas dire plus, à l'égard du traitement réservé aux chefs d'entreprise algériens», a-t-il encore ajouté.
Depuis l'arrivée, en 2017, à Alger, de Xavier Driencourt, l'ambassadeur de France en Algérie, les parlementaires algériens, ainsi que leurs enfants et leurs proches, auraient peu à peu perdu le privilège que leur accordait le consulat général de France de leur délivrer systématiquement des visas Schengen. C'est ce que rapporte, ce 31 octobre, le site d'information ObservAlgérie, citant des sources proches du dossier.
Selon ces sources, l'Assemblée populaire nationale algérienne (APN) avait l'habitude de recevoir, à chaque législature, un quota de visas réservés exclusivement aux députés et hauts responsables. Alors que pour la législature actuelle l'ambassade de France ne lui aurait rien accordé, et ce malgré une tentative du chef de cabinet du président de l'APN de renégocier une convention entre les deux institutions.
Lors de la rencontre entre le responsable algérien et l'ambassadeur de France en Algérie, M.Driencourt aurait pris soin, selon les mêmes sources, de présenter une liste de toutes les personnes (fils d'anciens députés et leurs proches) ayant bénéficié d'un visa Schengen par le biais de l'APN, qui se sont rendues sur le territoire français, et ne sont plus jamais rentrées en Algérie.
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