En ce mois de février 2019, après les commémorations des 40 ans de la révolution islamique, l'Iran est de nouveau au centre de l'actualité mondiale.
En trois jours, Mohammad Javad Zarif, ministre des Affaires étrangères iraniennes, a présenté sa démission, qui a été acceptée; Hassan Rohani et Ali Khamenei ont reçu à Téhéran Bachar al-Assad et ce 27 février, Benjamin Netanyahou doit convaincre Vladimir Poutine, à Moscou, de faire pression sur l'Iran pour que ses troupes quittent la Syrie.
Ces derniers évènements pourraient-ils signifier un basculement des alliances au Moyen-Orient, au point de rompre la relation entre l'Iran et la Russie?
Pourtant, en 2019, celle-ci semble n'a jamais semblé aussi solide: guerre en Syrie et lutte contre le terrorisme, accords sur le nucléaire de 2015 et de la Caspienne en 2018, création de zones de libre-échange… Mais peut-on parler d'une alliance entre Téhéran et Moscou ou d'un partenariat de circonstance, amené à se solder par une rupture? Décryptage.
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