À la suite de l’assassinat de Mohsen Fakhrizadeh, physicien iranien de renom, la République islamique a promis de se venger. Mais si le Président Hassan Rohani a accusé son pire ennemi, Israël, d’être responsable de ce crime, il a promis que la riposte ne se fera qu’en «temps et en heure».
La République islamique préférerait ne pas entrer dans le jeu recherché par Benyamin Netanyahou et par certains membres de l’Administration Trump, celui d’une guerre totale qui serait défavorable à l’Iran, selon Michel Makinsky, chercheur-associé à l’Institut Prospective & Sécurité en Europe (IPSE).
Dirigeant d’une société de conseil spécialisée sur l’économie et la politique de l’Iran, le nouvel invité de Lignes Rouges estime que la riposte iranienne sera probablement comparable à celle qui avait été choisie à la suite de l’assassinat du général Soleimani. Une attitude qui permettrait à Téhéran de pousser les négociations avec la probable future Administration Biden. Analyse.
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