Pékin a refusé jeudi une deuxième phase de l'enquête de l'OMS, qui retient au nombre des scénarios possibles un dysfonctionnement dans un laboratoire chinois.
Interrogé sur l'attitude de la Chine lors d'un briefing de l'Onu à Genève, le porte-parole de l'OMS, Tarik Jasarevic, a déclaré : "Il ne s'agit pas de politique, il ne s'agit pas de rejeter la faute".
"Il s'agit essentiellement d'une exigence qui s'impose à nous : tenter de comprendre comment l'agent pathogène s'est transmis à la population humaine. Dans ce sens, les pays ont vraiment la responsabilité de travailler ensemble et de travailler avec l'OMS dans un esprit de partenariat", a-t-il souligné.