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L’Armée française a publié sur Twitter une photo incluant l’Algérie qui laisse penser que la région de la Kabylie ne fait pas partie du pays. Une publication qui interroge quant à son objectif.
Une publication de l’État-major des armées sur Twitter a déclenché de vives réactions en Algérie. Celle-ci insinue que la Kabylie ne fait pas partie intégrante du pays.
Accompagnée du message «On garde le cap!», la photo montre un soldat en train de clouer sur un tronc d’arbre des flèches indiquant la position de l’Armée française par rapport à différents pays et régions du monde.
L’une des flèches qui pointe en direction de l’Algérie porte deux drapeaux. Le premier est l’emblème national algérien en face duquel est écrit DZ, code qui désigne l’Algérie dans toutes les classifications internationales. Le second est le drapeau berbère en face duquel est mentionnée Tizi Ouzou, l’une des plus grandes villes de la Kabylie. En-dessous est écrit le mot Bylka, souvent utilisé par les internautes pour désigner la Kabylie.
Le contexte
Cette photo a été publiée par l’État-major des armées six jours après la polémique créée par l’ONG française Reporters sans frontières (RSF) après avoir classé le 21 avril l’Algérie à la 146e place sur l’échelle mondiale de la liberté de la presse, qui comprend 180 pays.
Dans son rapport, RSF affirme que l’incarcération à Alger du journaliste Khaled Drareni, leur correspondant local qui alimente également des médias français comme France 24, «a montré comment les autorités de certains pays profitaient de l’épidémie de Covid-19 pour régler leurs comptes avec le journalisme indépendant».
Le ministre algérien de la Communication et porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer, a répondu aux accusation de «cette ONG française», instrument «d’influence et de propagande» versé dans la promotion «des révolutions colorées».
Le 30 mars, sur la chaîne publique France 24, le chercheur au Centre des affaires internationales de Barcelone (CIDOB) Francis Ghilès a tenu de graves propos à l’égard de l’Algérie, obligeant le ministre algérien des Affaires étrangères Sabri Boukadoum à convoquer l’ambassadeur de France à Alger Xavier Driencourt pour lui faire part des «vives protestations» de son gouvernement contre les «propos mensongers, haineux et diffamatoires» tenus par l’intéressé, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères dont Sputnik a reçu une copie.
La France accueille un mouvement séparatiste Kabyle
L’Algérie est visée par un mouvement séparatiste kabyle qui a élu la France comme terre d’accueil. En juin 2010 à Paris, Ferhat Mehenni, président du Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie (MAK), annonce la création du Gouvernement provisoire kabyle (GPK), l’Anavad, en exil.
M.Mehenni appelle alors dans une courte vidéo publiée de Londres le 4 juin 2018 les Kabyles à constituer des forces de sécurité destinées à se substituer aux forces algériennes.
«Donc pour que cette indépendance devienne réalité, j'appelle la Kabylie, j'appelle le peuple kabyle à accepter de bonne grâce et en toute conscience la mise sur pied d'un corps de contrainte, d'une organisation de sécurité de la Kabylie», déclare-t-il. Cette étape est nécessaire, selon M.Mehenni, qui ajoute qu'à défaut «nos enfants continueront d'aller à l'école de l'aliénation [l'école algérienne, ndlr] et de se faire tabasser dans la rue par la police coloniale [la police algérienne, ndlr] à chaque fois qu'ils descendent pour protester pour n'importe quoi». «Donc il faut que l'autorité coloniale [l'autorité algérienne, ndlr] soit remplacée par l'autorité kabyle», lance-t-il dans la vidéo.
Le Rassemblement pour la Kabylie (RPK) avait ensuite condamné les propos du chef du MAK dans un communiqué rendu public le 4 juin 2018.
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