Mardi 30 juin, les chauffeurs de taxis de la région de Rabat-Salé-Kenitra, au Maroc, ont manifesté avec des chaînes au cou pour dénoncer les restrictions qui leur sont imposées par le gouvernement en raison du Covid-19, rapporte le site d’information L’Opinion. En effet, alors que leurs véhicules sont en mesure de transporter six personnes à la fois, les autorités n’en autorisent que trois. C’est la deuxième manifestation en l’espace d’un mois.
«Les charges cumulées jusqu’à présent sont estimées à 4.500 dirhams (412 euros) en moyenne, entre concession au propriétaire des taxis et assurance annuelle, dont les taximen doivent s’acquitter. Nous ne pouvons pas les payer face aux conditions en vigueur», déplore l’un des manifestants au micro de L’Opinion.
Le média explique que cette situation pénalise également les usagers qui sont obligés de se déplacer «par autobus ou petits taxis, quand les moyens financiers le permettent».
C’est la deuxième manifestation après celle tenue le 18 juin dernier à Salé, précise le journal.
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