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La déléguée de l’ONG France Libertés a dénoncé, lors de la 44e session du Conseil des droits de l’Homme de l’Onu à Genève, «l’occupation illégale du Sahara occidental» par le Maroc qui use de «la corruption et de l’intimidation» dans sa politique étrangère pour asseoir «une situation incompatible avec le droit international».
Lors de son intervention durant la 44e session du Conseil des droits de l’Homme (CDH) des Nations unies à Genève, la représentante de l’ONG France Libertés fondée par feue Danielle Mitterrand, Lucia Tramer, a accusé le Maroc d’user de «la corruption et de l’intimidation» pour renforcer et pérenniser «son occupation illégale du Sahara occidental».
«Des pays usent de corruption et d’intimidation dans leur politique étrangère pour asseoir une situation illégale et incompatible avec le droit international», a déclaré Mme Tramer, soulignant que «tel est le cas du royaume du Maroc qui occupe illégalement le Sahara occidental, lequel figure sur la liste de l’Onu des territoires non autonomes».
«Un État occupant illégalement un autre territoire»
Par ailleurs, la responsable a dénoncé «l’exploitation illégale des ressources naturelles du Sahara occidental par l’Office Chérifien des Phosphates (OCP), propriété de la famille royale marocaine.
Cette exploitation, selon elle, «contribue à asseoir et à maintenir la présence illégale du Maroc, en tant que force d’occupation, dans plusieurs parties du Sahara occidental».
La représentante de France Libertés a expliqué que «la corruption est l’un des facteurs qui minent le travail et la légitimité des institutions et sapent l’état de droit et les droits des groupes et des individus soumis à la marginalisation, à la discrimination et à d’autres actes illégaux», appelant à «lutter contre la corruption à laquelle se livre un État occupant illégalement un autre territoire».
Le royaume chérifien revendique sa souveraineté sur le territoire du Sahara occidental depuis 1975 et propose un plan d’autonomie pour mettre un terme au conflit. De son côté, le Front Polisario mène une lutte pour sa libération de «l’occupation marocaine», exigeant, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité de l’Onu, l’organisation d’un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui.
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