«C’est une décision éminemment politique», tranche Régis de Castelnau. Pour l’avocat, la condamnation de Nicolas Sarkozy par le tribunal judiciaire, ce 1er mars, se fonde sur un «dossier creux». Pour l’auteur de l’ouvrage Une justice politique (Éd. L’Artilleur), il y a eu une «violation de la légalité», à partir du moment où la condamnation s’est fondée sur «des écoutes illégales» entre un avocat et son client.
Pour Me de Castelnau, avec l’affaire Sarkozy «la magistrature poursuit son affrontement avec le pouvoir politique». Un processus engagé à partir des années 1980. Sous couvert «d’indépendance et d’impartialité», les magistrats auraient fini par se politiser. Jusqu’à mener des «raids judiciaires» contre la classe politique.
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