Ce dernier souligne que cette position découle de la victoire à la présidentielle américaine du candidat républicain Donald Trump. « Il n'existe aucun obstacle insurmontable. Bien sûr, nous devons d'abord être certains que les objectifs stratégiques des USA vis-à-vis de la Syrie changeront car jusqu'à présent, leur but n'était pas tant de réprimer le terrorisme que de renverser le régime », a déclaré le sénateur russe.
Le 17 novembre, le ministère russe des Affaires étrangères a annoncé le début des consultations avec l'équipe du président américain élu sur le règlement du conflit en Syrie. Plus tôt, le 14 novembre, le problème de la Syrie avait été mentionné lors du premier contact téléphonique entre le président russe Vladimir Poutine et Donald Trump, qui avait annoncé plus tôt sa disposition à coopérer avec Damas pour lutter contre le groupe terroriste État islamique ( ou Daech, interdit en Russie ), ainsi qu'à cesser l'aide au profit de l'opposition syrienne dite « modérée ». Pendant sa campagne électorale, Donald Trump avait mis l'accent sur la lutte contre le terrorisme en critiquant la politique moyen-orientale de Barack Obama.
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