La Russie et les États-Unis sont engagés dans des pourparlers avec la Turquie sur la Syrie. Récemment, le vice-Président américain Mike Pence et le secrétaire d’État Mike Pompeo ont rendu visite au Président turc. Et Erdogan a également passé un appel à Vladimir Poutine, à la suite duquel les deux chefs d’État ont convenu de se revoir en Russie pour discuter de la situation en Syrie.
Tout a commencé lorsque Trump a retiré les troupes américaines du nord-est du pays, dominé par les Kurdes syriens. Il a ensuite envoyé une lettre à Erdogan dans laquelle il a écrit: «Faisons un bon deal! Vous ne voulez pas être responsable du massacre de milliers de personnes et je ne veux pas être responsable de la destruction de l’économie turque. Et je le ferai.» Trump a ajouté: «L’Histoire vous regardera favorablement si vous agissez de manière juste et humaine. Il vous regardera comme le diable si de bonnes choses ne se produisent pas. Ne soyez pas un dur. Ne soyez pas un imbécile! Je vous appellerai plus tard.» Oui, c’était bien une lettre officielle que le Président des États-Unis a adressée au chef d’un pays allié.
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