"En ce moment, il n'y a pas de document unique, nous sommes en train de rechercher un modèle optimal pour exprimer l'avis commun", a dit Alexandre Torchine.
"Nous n'avons jamais fixé de date butoir, mais il faut mettre un point final. Je serais heureux de ne pas dépasser les limites de cette année, mais je ne suis pas sûr que cela soit possible", a souligné le sénateur.
Selon lui, des changements sont apparus dans l'enquête après la rencontre des mères de Beslan avec le président russe Vladimir Poutine. "Bien plus, les témoins qui avaient fait des dépositions en septembre - octobre les ont modifiées en mai", a fait remarquer Alexandre Torchine.
Le substitut du procureur général russe Nikolai Chepel a récemment publié l'enregistrement d'un entretien des terroristes avec un complice tué le 1er septembre 2005, mais nous n'en disposons pas. De plus, nous n'avons pas les archives d'Aslan Maskhadov et d'Abu-Dzeit, a ajouté le sénateur.
Par conséquent, les informations de certains médias, selon lesquelles le rapport de la commission est prêt ne correspondent pas à la réalité, a constaté Alexandre Torchine.