"En cas de succès des négociations, la menace de sanctions sera écartée. J'en suis certain", a dit le parlementaire russe.
Des négociations russo-iraniennes sur cette question auront lieu le 16 février à Moscou avec la participation des représentants de la Chine, a-t-il rappelé.
"En cas d'échec, cela se répercutera sur le rapport de l'AIEA", a-t-il ajouté.
La période du 16 février au 6 mars, date de présentation du rapport des experts de l'AIEA sur la situation en Iran, est le "délai critique pendant lequel sera décidé le sort de l'Iran", selon l'expression de Konstantin Kossatchev.
Quant à savoir si d'autres pays, outre la Chine, peuvent prendre part aux négociations sur le problème iranien, il a répondu par l'affirmative: "Théoriquement c'est possible", avant d'ajouter : "Si l'intervention d'un autre pays s'avère nécessaire pour persuader l'Iran, alors oui". Ce ne sera pas facile car l'Iran ne fait pas confiance à la plupart des intermédiaires, à l'exception peut-être de la Russie et de la Chine", a dit le parlementaire russe.