"Le groupe de travail réunissant des représentants de tous les organes intéressés avait conclu à l'unanimité à la nécessité de dresser parallèlement deux projets de loi, le premier sur la ratification, le second sur les amendements à apporter au Code pénal russe. Alors que ces amendements ont été expertisés au Conseil de l'Europe, certaines administrations ont estimé par la suite qu'ils étaient inutiles, et aucun consensus n'est jusqu'à présent intervenu", a souligné le ministre.
"Nous sommes exposés aux justes reproches de la communauté européenne, ce qui entrave l'assistance juridique internationale. J'estime nécessaire de déposer prochainement à la Douma, via le gouvernement, un projet de loi portant ratification de la Convention", a dit Iouri Tchaïka.