Les scientifiques russes ont élaboré un nez électronique capable de distinguer des odeurs à peine perceptibles. L’appareil ne reconnaît pour le moment que l’odeur d’ammoniac.
Selon les experts, le « nez » pourrait servir dans l’avenir à détecter des explosifs et à diagnostiquer des maladies. Il travaille d'après le principe du papier de tournesol changeant sa couleur selon les odeurs dans l’air.
Les dimensions du nez électronique dépassent de plusieurs fois celles de son analogue naturel, mais ses capacités à reconnaitre les odeurs sont plusieurs fois supérieures.