L'absence dans l'organisme humain de l'hormone visfatin rend impossible l'augmentation de la quantité de tissus graisseux, affirment des spécialistes de l'Université de Copenhague dans un article publié par le portail MedicalXpress.
Au cours de l'expérience, les souris ont reçu de la nourriture équilibrée et puis leur repas a été modifié pour correspondre à une consommation régulière de pizzas et de hamburgers.
Après avoir comparé deux groupes de souris, les médecins ont établi que les rongeurs du groupe de contrôle ont pris du poids en consommant de la nourriture riche en lipides.
Les auteurs de la recherche espèrent que leur étude aidera à lutter contre l'obésité et les dysfonctionnements dans le métabolisme. En revanche, ils soulignent que retirer cette hormone de l'organisme humain pourrait provoquer des conséquences nocives pour la santé.