Les spécialistes du Beth Israel Deaconess Medical Cente, un centre hospitalier universitaire lié à la Harvard Medical School aux États-Unis, ont appris comment prédire l'apparition d'un cancer du rein jusqu'à cinq ans avant le diagnostic.
L'équipe de chercheurs a démontré qu'une molécule appelée KIM-1, une protéine présente dans le sang de certains patients atteints de carcinome rénal, était présente à des niveaux élevés au moment du diagnostic.
Cette molécule peut être détectée à l'avance à l'aide d'un test sanguin, ce qui permettra de commencer à lutter contre une éventuelle maladie en gestation.
«Ce travail est un grand pas en avant, car KIM-1 est le seul biomarqueur qui a montré de manière prospective la distinction entre les personnes ayant un risque élevé ou faible de développer un cancer du rein», a expliqué l'un des chercheurs, David Mueller.
Les résultats de leur étude ont été publiés dans la revue Clinical Cancer Research.
En cliquant sur "Publier", vous acceptez que les données personnelles de votre compte Facebook soient utilisées pour vous donner la possibilité de commenter les contenus publiés sur notre site à partir de votre compte. Le processus de traitement des données personnelles est décrit en détail dans la Politique de confidentialité.
Vous pourrez revenir sur votre choix et retirer votre consentement en effaçant tous vos commentaires.
Tous les commentaires
Afficher les nouveaux commentaires (0)
en réponse à(Afficher le commentaireCacher le commentaire)