Le patron de la maison close estimait pouvoir disposer comme il le souhaitait de ses emplyées, dont la jeune prostituée de 22 ans, selon les déclarations de la plaignante entendue par le tribunal des droits de l'Homme.
L'employeur a été condamné à indemniser la jeune femme à hauteur de 25.000 dollars néo-zélandais (15.200 euros), selon les médias néo-zélandais qui qualifient cette décision judiciaire de « première mondiale ».
« Les travailleurs du sexe ont droit à autant de protection contre le harcèlement sexuel que dans les autres professions », a affirmé le tribunal.