Environ 200 manifestants cagoulés, armés de barres de fer et de bâtons, ont commencé à attaquer les agents de la police, à briser des vitres, à cambrioler des boutiques, à mettre le feu à des voitures et à des poubelles.
Des émeutes ont été organisées par des militants d’un mouvement informel qui proteste contre le fait que les rues de Zurich ont, à leur avis, une apparence de plus en plus « bourgeoise ».