Au moins un quart de l’équipage du sous-marin nucléaire lanceur d'engins HMS Vigilant (S30) de la Royal Navy a contracté le Covid-19 suite à des sorties dans des bars, ce qui leur était pourtant interdit, rapporte The Sun se référant à ses sources dans un article paru le 13 octobre. Au moment des faits, le vaisseau était stationné à la base navale américaine de Kings Bay, près de la ville de Saint-Marys dans l’État de Géorgie, et non loin de Jacksonville, en Floride.
Par conséquent, au moins 35 membres d'équipage ont été testés positifs, y compris le médecin et le commandant en second, l'une des deux seules personnes disposant des codes nécessaires pour lancer des armes nucléaires.
Un sous-marin nucléaire à la réputation scandaleuse
Ce sous-marin nucléaire britannique a déjà été baptisé HMS Sex and Cocaine, suite à un scandale lié à la consommation de drogues en 2017. Cette fois-ci l’équipage a violé les règles qui lui ont été strictement imposées «lors de la maintenance des missiles Trident».
À en croire des sources du média, malgré le fait que les deux États américains en question soient parmi les plus touchés par la pandémie de Covid-19 aux États-Unis, les membres d’équipage «se sont laissés aller» en fréquentant des bars, des restaurants et des clubs de strip-tease locaux.
Un porte-parole de la Royal Navy a refusé de commenter les questions «liées aux opérations sous-marines».
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