Les jeunes Iraniens choisissent la slackline. Pourquoi?

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S'apparentant au funambulisme, la slackline est une pratique sportive récente qui devient toutefois de plus en plus populaire en Iran. Le «slackeur» marche sur une sangle élastique appelée «slack» tendue entre deux ancrages, tels qu'arbres ou poteaux. Saman Jooyandeh, membre du groupe Iran Slackline, en a parlé à Sputnik.

La slackline est considérée comme sport en Iran bien qu'il n'y ait pas de fédération dans le pays. Il se trouve toutefois des sponsors étrangers qui fournissent du matériel requis aux slackeurs iraniens, a raconté à Sputnik Saman Jooyandeh, ancien rochassier.

© Photo Saman JooyandehLes jeunes Iraniens font de la slackline
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Les jeunes Iraniens font de la slackline

«Je fais du rocher depuis une dizaine d'années, et j'ai appris l'existence de la slackline en visionnant des films sportifs. C'est mon amis qui m'a initié à la slack que je ne pratique professionnellement que depuis trois ans tout au plus», a poursuivi l'interlocuteur de l'agence.

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Et d'ajouter qu'il y avait en Iran une association d'amateurs de slackline qui échangeaient des informations, s'entraînaient ensemble ou organisaient même des compétitions.

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Saman est persuadé que la slackline demande une grande concentration de forces physiques et mentales, mais que le principal est la volonté du slackeur lui-même.

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«Chacun y poursuit son objectif. Pour moi, l'essentiel est d'en tirer du plaisir. Quand j'accomplis des figures plus compliquées, je ressens un grand sentiment de joie», a confié le slackeur à Sputnik.

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