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Le 18 janvier 2020, une lycéenne de 16 ans appelée Mila tenait des propos très critiques sur l’islam lors d'un live sur Instagram. Menacée de mort à de très nombreuses reprises, elle a porté plainte. Le hashtag #JesuisMila a fait son apparition sur les réseaux sociaux afin de la soutenir. La jeune fille a été déscolarisée en raison des menaces qui pèsent sur sa personne. Elle est désormais sous protection policière.
Cette affaire a donné lieu à différentes appréciations sur le droit au blasphème, et à un mea culpa de la ministre de la Justice, qui avait semblé le remettre en cause.
L’adolescente Mila, dont les propos sur l’islam en janvier 2020 ont entraîné un flot d’insultes et de menaces de mort, vit depuis isolée de la société, devant poursuivre ses études à distance. Elle évoque sa nouvelle vie et son rapport à la religion dans un entretien au Point.
«Mila n’a pas été exclue et je voudrais dire que Mila c’est notre combat». Invitée de France Info le 11 décembre, la ministre des Armées a réagi aux déclarations du père de l’adolescente selon lesquelles elle avait été mise à l’écart par son lycée militaire après avoir divulgué son nom. Selon Mme Parly, un aménagement a été proposé à Mila.
Retirée de son lycée isérois en raison des menaces de mort dont elle avait été la cible après sa vidéo polémique sur l'islam, l'adolescente Mila a été mise à l’écart par son nouvel établissement après avoir révélé son nom sur les réseaux sociaux, affirme son père en fustigeant l'«hypocrisie» des institutions.
Dans un communiqué publié le 16 novembre, l'adolescente Mila tient à souligner qu’elle n’a «rien contre les musulmans» et qu’elle répond «tout simplement à ceux qui veulent nous soumettre à un diktat». Elle indique également qu'elle va se faire plus discrète sur les réseaux sociaux. «Je tente de retrouver une vie normale», conclut-elle.
Mila, adolescente à nouveau ciblée par des menaces de mort après des propos sur l'islam, «vit comme les gens de Charlie Hebdo, bunkerisée», a déclaré lundi son avocat Richard Malka.
La lycéenne de l’Isère Mila, connue pour ses propos controversés sur l’islam qui lui ont valu un torrent de haine dans les réseaux sociaux en janvier, est de nouveau menacée de mort après une vidéo où elle appelle à «surveiller» Allah. Certaines menaces évoquent notamment le nom de Samuel Paty. Réagissant, le parquet de Vienne a ouvert une enquête.
Un individu a été placé en garde à vue mercredi et doit être jugé aujourd’hui pour des «menaces de mort réitérées» envers Mila, révèle Le Point. L’adolescente de 17 ans avait vivement critiqué l’islam sur son compte Instagram en janvier et continue toujours, selon elle, de recevoir régulièrement des menaces.
La lycéenne Mila a de nouveau été menacée de mort et de viol suite à sa déclaration en janvier portant atteinte à la religion musulmane, rapporte Le Canard enchaîné cité par Marianne. Elle a été prise à partie lors d’un séjour linguistique à Malte. L’agresseur a été arrêté et condamné à un an de prison avec sursis.
C’est une affaire qui a secoué le rap français ces derniers jours. Le rappeur du 91 Koba LaD a félicité un père qui avait tué son fils gay, provoquant ainsi une polémique et la déprogrammation de plusieurs de ses concerts. Sur la Toile, cependant, certains internautes dressent un parallèle controversé avec l’affaire Mila.
La jeune Mila qui a critiqué l’islam n’a pas eu de soutien des associations féministes, qui ont «brillé par leur silence» dans ce cas particulier, estime dans sa tribune Éric Zemmour, qui s’en prend à l’absence de réactions de la part des militantes en faveur de la cause des femmes.
Sur le plateau de son émission, le présentateur vedette de C8 a réagi à l’affaire Mila, exprimant sa désapprobation envers les propos tenus par la jeune fille sur l’islam.
L’affaire Mila semble diviser les Français sur leur perception de la critique de la religion. Un sondage publié cette semaine par Charlie Hebdo essaye d’en dresser le bilan et montre une opinion plus fracturée que jamais sur la question du droit au blasphème.
Mila, la lycéenne qui a beaucoup fait parler d’elle après ses critiques virulentes sur les religions et l’islam, a été interviewée dans l’émission «Quotidien» sur TMC. La chaîne a expliqué pourquoi il y avait eu une coupure de son pendant 30 secondes pendant sa prise de parole.
Christophe Castaner a affirmé mardi 4 février que l'adolescente Mila et sa famille étaient protégées par les forces de l'ordre en raison des menaces de mort dont la jeune fille fait l'objet pour avoir critiqué l'islam. Il ne s'agit pas d'une sécurité permanente «parce que rien n'indique qu'elle en ait besoin», a-t-il indiqué.
L’affaire Mila déchaîne les passions en France. Une énième polémique qui pose la question de la place de l’islam en France. Malaise grandissant dans une France communautarisée ou psychose engendrée par un effet de loupe des réseaux sociaux? Fatiha Boudjahlat, militante féministe et laïque, revient sur l’affaire au micro de Sputnik.
Mila, la lycéenne iséroise de 16 ans dont les virulentes critiques sur l'islam lui ont valu un déferlement de menaces qui l'empêchent aujourd'hui d'être scolarisée, a assuré lundi sur TMC ne «pas regretter» ses propos, revendiquant son «droit au blasphème», relate l'AFP.
«Critiquer une religion, ça n'empêche pas d'avoir du respect», tel a été le verdict rendu par l'ancienne ambassadrice des Pôles Ségolène Royal alors qu’elle commentait sur France 3 la situation de la lycéenne française Mila, victime de cyber harcèlement à cause de ses critiques de l’islam.
Inondée de menaces sur les réseaux sociaux, Mila, la lycéenne iséroise de 16 ans dont les virulentes critiques sur l'islam ont été massivement relayées, se retrouve sans affectation scolaire, dans l'attente d'une solution du rectorat, informe l’AFP.
La garde des Sceaux française a affirmé reconnaître «volontiers» sa maladresse dans ses propos sur le cas de la jeune Mila, victime de cyberharcèlement. Auparavant, Nicole Belloubet avait estimé qu’«une insulte à la religion, c'est évidemment une atteinte à la liberté de conscience», provoquant ainsi un tollé.
Les propos contre l'islam d'une lycéenne de Nord-Isère ne constituent pas une provocation à la haine, a annoncé jeudi 30 janvier le parquet de Vienne, qui classe donc sans suite cette enquête mais poursuit les investigations pour trouver les auteurs de menaces de mort à l'encontre de la jeune fille.