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Ces derniers mois, des arrestations d'hommes d'affaires et d'anciennes personnalités politiques accusés de corruption ont eu lieu en Algérie. Toutefois le mécontentement populaire ne faiblit pas, les manifestants exigent que l'armée cesse de s'immiscer dans la politique et insiste sur une période de transition.
Des sommes d’argent importantes seraient envoyées au Canada d’Algérie ce qui pourrait indiquer que des dirigeants corrompus s’apprêtent à quitter Alger, d’après une lettre adressée par le député québécois Pierre-Luc Dusseault au ministre canadien des Finances, selon des médias algériens.
L'ancien ministre et ex-sénateur algérien Djamel Ould Abbes, poursuivi notamment pour «dilapidation de deniers publics», a été placé en détention provisoire à la prison d'El-Harrach, rapporte l’agence Algérie Presse Service (APS), se référant à la Cour suprême.
Le général-major à la retraite Abdelghani Hamel et deux de ses enfants ont été placés en détention provisoire par le juge d’instruction du tribunal de Sidi M’hamed, indique l’ENTV vendredi 5 juillet.
Sur ordre de la Cour suprême en Algérie, la Société nationale des hydrocarbures (Sonatrach) va attaquer en justice le canadien SNC-Lavalin dans une affaire de corruption impliquant l’ex-ministre algérien de l’Énergie Chakib Khelil. Les faits remontent à 2009.
À ce vendredi qui clôt le quatrième mois du début du mouvement populaire en Algérie, la situation de blocage politique demeure intacte. Cependant, l’économie du pays rentre de plus en plus dans un état de fragilité aggravée. La loi de finances 2020 s’avère cruciale pour l’avenir du pays. Que décideront les Algériens?
Karim Djoudi est auditionné à Alger sur des affaires liées à la dilapidation de deniers publics, abus de fonction et attribution de privilèges indus.
Ministre dans plusieurs gouvernements de Bouteflika, Amara Benyounès a été placé sous mandat de dépôt par le juge de la Cour suprême, suite à une audition ce 13 juin concernant des affaires de corruption.
Le juge d’instruction de la Cour Suprême a placé ce jeudi 13 juin sous mandat de dépôt l’ancien Premier ministre algérien Abdelmalek Sellal, a annoncé la télévision publique algérienne. Il a ordonné son incarcération à la prison d’El Harrach.
L'ancien Premier ministre algérien Ahmed Ouyahia, limogé en mars dernier, a été placé mercredi en détention provisoire dans le cadre d’une enquête pour corruption, annonce la télévision nationale.
Une source militaire a confié au site d’information AGL24 que trois ex-officiers supérieurs, dont un général et un capitaine de l’ex-DDSE algérienne, avaient été condamnés à mort par le tribunal militaire de Blida pour haute trahison et divulgation de secrets d’État à des pays étrangers. D'autres médias tels que TSA démentent.
Un ex-colonel des services algériens a déclaré à Sputnik que la campagne qui visait l’armée et son chef sur l’affaire de corruption était contrôlée par «l’ancienne équipe qui a gouverné le pays» et des meneurs «qui gravitent autour de l’ancien système du DRS», l’ex-service de renseignement. Pour lui, «la presse est loin d’être indépendante».
Le parquet général d'Alger a renvoyé deux anciens ministres, Ahmed Ouyahia et Abdelmalek Sellal, devant la Cour suprême, dans le cadre d'une enquête pour corruption, rapporte ce dimanche 26 mai la chaîne de télévision Ennahar-TV.
Ali Benouari, ex-ministre algérien du Trésor, a affirmé à Sputnik que l’opération mains propres que l’armée algérienne a déclenchée est nécessaire pour la réussite de la transition démocratique. Il a expliqué la position difficile de l’armée et les raisons des attaques que son chef essuie sur la question de la lutte anticorruption.
Le général Ahmed Gaïd Salah, chef d’état-major de l’armée algérienne, a réagi aux critiques adressées à l’institution militaire dans sa gestion du dossier de la lutte contre la corruption, indiquant que cette dernière «possède des ramifications politiques, financières et médiatiques», selon un communiqué de la Défense.
L’ancien chef des renseignements algériens, le général Toufik, incarcéré depuis le 5 mai pour «complot contre l’autorité de l’État», a été transféré à l’hôpital militaire d’Aïn Naâdja, dans la banlieue d’Alger, «suite à une hypertension», ont confié des sources au site d’information Observ’Algérie.
Trois mois après le début de la contestation, où se dirige l’Algérie? Une période de transition, où le peuple va pouvoir gouverner en démocratie ou au contraire un autoritarisme militaire, voire islamiste? Pour répondre à toutes ces questions, Désalliances a reçu l’écrivain et opposant historique du pouvoir, Boualem Sansal.
Dans un entretien à Sputnik, Ali Benouari, ex-ministre algérien du Trésor, a affirmé qu’il soutenait l’opération mains propres à laquelle l’armée a appelé, car elle est nécessaire pour la réussite de la transition politique. Il a par ailleurs rappelé les tentatives d’assassinat l’ayant visé quand il avait lancé une opération similaire en 1991.
Au terme d’une enquête, le journaliste Marc Endeweld a publié le livre «Le grand manipulateur» où il revient sur les liens que le Président français aurait établis en Algérie. Il s’agit notamment de deux oligarques, les hommes d’affaires influents Ali Haddad et Issad Rebrab, arrêtés en avril dans le cadre d'enquêtes sur des affaires de corruption.
Le chef d’état-major de l’armée algérienne a déclaré ce 30 avril que les services du ministère de la Défense étaient en possession de «dossiers lourds de corruption», d’après un communiqué officiel. Il a, par ailleurs, appelé la justice «à éviter tout retard dans le traitement de ces dossiers», selon la même source.
Après le ministre des Finances, Mohamed Loukal, l'ex-Premier ministre algérien Ahmed Ouyahia a comparu à son tour, mardi 30 avril, devant le procureur de la République dans le cadre d'une enquête pour corruption, annonce la télévision du pays.