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Une attaque à l'arme blanche a fait deux blessés le 25 septembre 2020 à Paris près des anciens locaux de l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, en plein procès de l'attentat meurtrier qui l'avait visé en janvier 2015. Le parquet national antiterroriste (Pnat) a été saisi pour «tentative d'assassinat en relation avec une entreprise terroriste» et «association de malfaiteurs terroriste criminelle».
Un Pakistanais, présenté comme mineur mais en réalité âgé de 25 ans, a été arrêté dans cette affaire. Il a reconnu les faits et a été mis en examen.
Des amis de l’auteur présumé de l’attaque près des anciens locaux de Charlie Hebdo «auraient fait la même chose», selon un reportage réalisé par Associated Press depuis le village natal d’Ali Hassan.
Le père du jeune Pakistanais qui a blessé deux personnes devant les anciens locaux de Charlie Hebdo à Paris a confié qu’il était «fier de son fils».
Emmanuel Macron, qui jusqu’ici ne s’était pas exprimé au sujet de la récente attaque près des ex-locaux de Charlie-Hebdo, a expliqué ce 28 septembre que le Président «n'a pas vocation à commenter mais à agir». Lors de son intervention depuis Vilnius, le Président français a également évoqué des «visées terroristes» de l’auteur présumé.
Les enquêteurs du parquet national antiterroriste s’intéressent à une éventuelle vidéo de revendication enregistrée par l’auteur de l’attaque survenue près des locaux de Charlie Hebdo à Paris, rapporte Le Point. L’homme se serait filmé pour annoncer son geste et exprimer sa colère contre la republication des caricatures de Mahomet.
Présenté initialement comme le «deuxième suspect» et mis en garde à vue, Youssef a été libéré le jour même de l’attaque au hachoir qui a eu lieu près des anciens locaux de Charlie Hebdo. Au lendemain des faits, il explique au micro du Monde comment il a tenté d’arrêter l’attaquant.
Invité sur BFM TV, l’ancien collaborateur de Charlie Hebdo Patrick Pelloux a confié éprouver un sentiment de répétition, après l’attaque à l’arme blanche de Paris. Le médecin urgentiste a rappelé que la France n’en avait pas fini avec le terrorisme et s’est étonné que les anciens locaux de Charlie Hebdo aient pu être laissés sans surveillance.
Alors que les gardes à vue se sont enchaînées depuis l’attaque qui a fait deux blessés près des anciens locaux de Charlie Hebdo, une source proche du dossier suggère que le principal suspect ait agi seul. Quant aux autres interpellations, leur but est de comprendre l’environnement de l’auteur présumé de l’attaque.
Un frère du principal suspect tout comme une des relations de ce dernier ont été placés en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur l’attaque qui s’est produite vendredi près des anciens locaux de Charlie Hebdo.
Assumant avoir voulu donner «une dimension religieuse à son acte», le principal suspect de l’attaque qui s’est produite vendredi près des anciens locaux de Charlie Hebdo a avoué sa colère suite à la republication par cet hebdomadaire des caricatures de Mahomet et a dit avoir cru cibler ses employés, selon les sources citées par Le Parisien.
Alors que le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a demandé vendredi dans les heures qui ont suivi l’attaque au hachoir près des anciens locaux de Charlie Hebdo au préfet de police de la capitale pourquoi la menace avait été «sous-évaluée» dans ce secteur, l'administration en question affirme qu’aucun signe alarmant n’était visible.
Le principal suspect de l’attaque qui a eu lieu vendredi dans le 11e arrondissement de Paris -un jeune homme né au Pakistan- a «assumé» son acte, évoquant notamment la republication des caricatures de Mahomet dans les pages de Charlie Hebdo. Pour rappel, l’attaque a eu lieu près des anciens locaux de l’hebdomadaire satirique.
Invité sur CNews, l’ancien magistrat Georges Fenech a mis en garde contre un retour d'Al-Qaïda* sur le devant de la scène. Le député a fait le rapprochement avec l’attaque à l’arme blanche ayant eu lieu près des anciens locaux de Charlie Hebdo.
Après que deux personnes, dont le principal suspect, ont été arrêtées dans les heures qui ont suivi l’attaque près des anciens locaux de Charlie Hebdo à Paris, cinq autres gardes à vues ont été constatées par une source judiciaire. Il s'agit de cinq individus interpellés à Pantin.
Deux suspects ont été placés en garde à vue suite à l’attaque à l’arme blanche qui a fait ce vendredi 25 septembre deux victimes dans le 11e arrondissement de Paris, près des anciens locaux de Charlie Hebdo. L’un d’entre eux serait d’origine pakistanaise. Deux victimes, dont les jours ne sont pas en danger, sont journalistes.
Suite à l’attaque qui a eu lieu près des anciens locaux de l’édition de Charlie Hebdo et qui a fait, selon les dernières informations, deux blessés, le Pnat a été saisi. L’enquête est notamment ouverte pour «tentative d’assassinat en relations avec une entreprise terroriste».
Ce 25 septembre, une agression à l'arme blanche s'est produite devant les anciens locaux de Charlie Hebdo. Les premières images depuis les lieux.
Une attaque à l'arme blanche a fait deux blessés vendredi à Paris près des anciens locaux de l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo. Deux suspects ont été interpellés par la police. Le parquet antiterroriste a été saisi.