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Un camion a foncé dans la foule au marché de Noël à Berlin le 19 décembre 2016, faisant 12 morts et 48 blessés, selon un dernier bilan. L'attaque était volontaire, annonce la police, évoquant un «attentat».
La police turque a arrêté un membre de l’organisation État islamique qui aurait été lié à Anis Amri, l’auteur de l’attentat perpétré à Berlin le 19 décembre dernier.
Non seulement l’auteur présumé de l’attaque de Berlin trafiquait de la drogue, mais il en consumait régulièrement lui-même, estiment les médias allemands.
Les représentants des services de sécurité allemands se sont réunis à sept reprises en 2016 pour discuter de la menace potentielle présentée par le Tunisien Anis Amri, auteur de l’attentat de Berlin. La dernière réunion a eu lieu un mois avant l'attaque contre un marché de Noël.
L'auteur de l'attentat de Berlin du 19 décembre, Anis Amri, était déjà dans le viseur des services spéciaux allemands, il y a un an, mais avait été reconnu comme étant non dangereux.
Le matin du 23 décembre, le suspect de l'attentat de Berlin Anis Amri a été abattu à Milan. Pourtant, sa mort ne résout pas le problème de la menace terroriste islamiste en Europe et ailleurs, estime le politologue spécialiste de l'islam Ralph Ghadban.
Présenté par l’Union chrétienne-démocrate (CDU) et l’Union chrétienne-sociale (CSU), le nouveau projet de loi accorde aux services spéciaux le droit d’écouter tous les appels téléphoniques et lire les courriels des Allemands. Le parti de gauche Die Linke s’y oppose. Quant à la société, elle proteste sur les réseaux sociaux.
L’agent de police italien, Luca Scata, qui a abattu le 23 décembre l’auteur présumé de l’attentat de Berlin s’est déjà vu attribué les surnoms de Brave Luca ou Luca le héros. Sa page Facebook est inondée de remerciements et de louanges.
Le suspect de l'attentat de Berlin a été abattu lors d'un échange de coups de feu à Milan, en Italie, a annoncé l'agence Reuters, se référant à des sources au sein des services spéciaux. Le ministre de l'Intérieur du pays a confirmé ces informations.
Un ex-responsable allemand de l’OSCE donne sa vision de la situation sécuritaire en Europe, se montrant très critique vis-à-vis de la politique migratoire de l’UE.
Une vidéo, qui représenterait l’auteur de l’attaque au camion contre un marché de Noël de Berlin, circule sur Internet.
Un certain Anis A., le suspect numéro un dans l'attaque au camion-bélier qui a fait 12 morts et 48 blessés lundi à Berlin, était soupçonné de préparer un attentat par les services allemands bien avant qu'il ne passe à l'acte, apprend un journal allemand.
Un chauffeur britannique a lancé une campagne de collecte de fonds en signe de solidarité en faveur des proches de Lukasz Urban, chauffeur polonais tué lors de l’attaque de Berlin survenue le 19 décembre.
L’attaque terroriste dans la capitale allemande a de nouveau révélé le niveau médiocre de la sécurité intérieure, sans parler des problèmes liés à la crise migratoire à travers le pays.
Un certain Anis A., le suspect numéro un dans l'attaque au camion-bélier qui a fait 12 morts et 48 blessés lundi à Berlin, était soupçonné de préparer un attentat par les services allemands bien avant qu'il ne passe à l'acte, apprend un journal allemand.
Un tweet avec une photo de chat appelle les internautes à ne pas diffuser de rumeurs alors que l’enquête est en cours suite à l'attentat survenu lundi soir à Berlin.
La police a bouclé un centre commercial de Düsseldorf où se trouverait l'auteur présumé de l'attentat de Berlin.
Camion, foule en fête, carnage, victimes… Le drame survenu lundi à Berlin, qui a fait 12 morts et 48 blessés, ressemble à s’y méprendre à un autre attentat qui a endeuillé la côte d’Azur cet été, l’attentat de Nice. Le scenario est toujours le même. Mais une question surgit: pourquoi l’Europe n’a-t-elle pas tiré les leçons du premier carnage?
Suite à l’attentat à Berlin, une députée du Bundestag a appelé à ne pas faire porter la responsabilité à tous les migrants.
Pendant qu’Angela Merkel s’efforce d’apaiser la population, affirmant que l’attaque à Berlin «ne secouera pas la liberté dans le pays», les eurosceptiques européens estiment que l’attentat est une conséquence directe de la politique migratoire de la chancelière allemande.
Dans une interview accordée à Sputnik, l’expert interne du SPD (Parti social-démocrate allemand, ndlr) Wolfgang Bosbach compare les terroristes d’aujourd’hui avec les membres de la Fraction armée rouge (RPA), un mouvement de guérilla urbaine radicale opérant en Allemagne de l'Ouest de 1968 à 1998.