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La Corée du Nord a annoncé le 6 janvier avoir procédé au test réussi d'une bombe à hydrogène. Le régime communiste cherche depuis longtemps à se doter d'une compétence technique qui lui permettrait d’accroître la portée potentielle de ses armes nucléaires.
Les 15 membres du Conseil de sécurité de l'Onu ont soutenu mercredi la décision d'imposer le plus lourd paquet de sanctions anti nord-coréennes en plus de vingt ans. La résolution interdit la fourniture à la Corée du Nord de carburant pour l'aviation et les fusées, limite les exportations du pays, ainsi qu'impose des sanctions financières.
Parallèlement au prétendu essai de bombe thermonucléaire qui a monopolisé l’attention mondiale, Pyongyang poursuivrait dans la plus grande discrétion son programme de sous-marin lanceur d’engins.
Les États-Unis et la communauté internationale sont inquiets - à juste titre - des essais nucléaires menés régulièrement en Corée du Nord, écrit jeudi l'agence de presse Regnum. Mais il ne faudrait pas oublier que c'est justement Washington qui pousse Pyongyang à renforcer son arsenal.
On a appris récemment que la Corée du Nord avait effectué un essai nucléaire mais rien n'indique qu'il s'agissait d'une bombe à hydrogène. On ne connaît pas non plus la nature des intentions du régime quant à la Corée du Sud et au reste du monde.
Le récent essai d’une nouvelle bombe H ayant confirmé la "pertinence de ses paramètres techniques", et le programme nucléaire de Pyongyang a franchi une nouvelle étape, annonce l’Agence centrale de presse nord-coréenne (KCNA) dans un communiqué publié sur son site officiel.
La Corée du Nord a menacé de riposter avec l'arme atomique aux actions des Etats-Unis, qui ont déployé en Corée du Sud un bombardier stratégique B-52 doté de missiles de croisière équipés d'ogives nucléaires.
Selon certains spécialistes, la puissance de la bombe testée par la Corée du Nord ne permet pas d'affirmer qu'il s'agit d'une bombe à hydrogène.
Les experts internationaux doutent cependant que l'engin testé soit une bombe H, comme le déclare Pyongyang.
Un bombardier américain à long rayon d'action a survolé dimanche la Corée du Sud, démonstration de force de l'armée américaine après l'essai supposé de bombe à hydrogène revendiqué par Pyongyang au mépris des résolutions de l'Onu.
Selon les dernières informations de l'Organisation du Traité d'interdiction complète des essais nucléaires (CTBT), la magnitude du séisme provoqué par le test nord-coréen est estimée à 4,85, alors qu'en 2013 le chiffre s'élevait à 4,9, a affirmé le secrétaire exécutif de l'organisation Lassina Zerbo.
Le Kremlin se déclare extrêmement préoccupé par les déclarations de la Corée du Nord sur le succès du test de bombe à hydrogène, a communiqué son porte-parole Dmitri Peskov.
L'essai réussi d'une bombe à hydrogène par Pyongyang reste à démontrer. Mais il ne constituerait pas, s'il s'avérait valable, une rupture stratégique majeure. Etat le plus militarisé au monde, la Corée du Nord reste une puissance de second rang. L'Analyse de Philippe Migault.
Il s'agirait du quatrième test nucléaire mené par le régime nord-coréen depuis 2006 et de la première utilisation de ce type de bombe.
Pyongyang produirait du tritium (isotope radioactif), un des composants clés pour la création de l'arme nucléaire de haute technologie.