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Le 3 janvier 2016 Riyad a rompu les relations diplomatiques avec Téhéran à la suite des attaques contre ses missions diplomatiques à Téhéran et Machhad. La crise a éclaté entre l'Arabie saoudite et l'Iran chiite suite à l'exécution du chef religieux chiite Nimr Al-Nimr ainsi que 46 autres personnes condamnées pour "terrorisme" par le royaume saoudien.
Cette décision survient sur fond de crise dans les relations entre l'Arabie saoudite et l'Iran qui ont rompu leurs liens diplomatiques dimanche dernier suite à une série d'attaques contre les missions diplomatiques saoudiennes en Iran.
Le pétrole de type Brent a chuté pour atteindre 35,12 dollars le baril et le WTI 35,05 dollars, rapporte le Wall Street Journal.
Le ministre irakien des Affaires étrangères Ibrahim al-Jaafari a déclaré que Bagdad deviendrait médiateur dans le règlement de la crise diplomatique entre l'Iran et l'Arabie saoudite.
L'Arabie saoudite participera aux discussions sur la Syrie qui doivent se tenir fin janvier à Genève, a déclaré Staffan de Mistura, secrétaire général des Nations unies sur la Syrie, après les négociations à Riyad.
La médiation de Moscou est acceptée par l'Iran et n'est pas rejetée par l'Arabie Saoudite, ce qui permettrait à la Russie d'intervenir en intermédiaire neutre dans le règlement du conflit, estime un politologue iranien.
Dans un conflit opposant deux grands pays musulmans - l'Iran chiite et l'Arabie Saoudite sunnite, il est difficile de prendre parti, mais Téhéran est sans doute un allié plus logique pour Washington, estime un journaliste américain.
L'Autorité pour l'aviation civile de Bahreïn a chargé la compagnie aérienne nationale de suspendre tous les vols à destination et en provenance d'Iran.
Tous les pays du Proche-Orient, dont l'Arabie saoudite et l'Iran, sont responsables de ce qui se passe actuellement dans la région, estime le ministre allemand des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier.
Le monde chiite s'indigne de l'exécution d'un haut dignitaire par les autorités saoudiennes, amenant l'Arabie saoudite à rompre ses relations avec l'Iran suite à l'incendie de son ambassade à Téhéran.
L’escalade du conflit entre l’Arabie saoudite et l’Iran est susceptible de dégénérer en guerre de grande envergure, a annoncé l’ancien chef du Commandement central des Etats-Unis (Centcom), Anthony Zinni.
Suite aux Emirats arabes unis, le Koweït a rappelé ce mardi son ambassadeur de Téhéran.
Les autorités iraniennes doivent arrêter "de s'ingérer dans les affaires intérieures d'autres pays".
Après les attaques de son ambassade à Téhéran et de son consulat à Machhad, une violente réaction iranienne à l'exécution d'un chef religieux chiite, l'Arabie Saoudite a rompu les relations diplomatiques avec l'Iran, confirmant ainsi l'importance de l'accord sur le nucléaire iranien.
Les experts interrogés par CNN sont unanimes à penser qu'une désescalade du conflit entre Riyad et Téhéran est actuellement impossible, car la montée des tensions profite aux deux pays.
Une campagne d'image bien rodée a été lancée par Riyad contre l'Iran, estime un diplomate iranien.
Selon le ministre saoudien des Affaires étrangères Adel al-Jubeir, Riyad souhaite suspendre ses liaisons aériennes avec Téhéran et interdire à ses ressortissants de se rendre en Iran.
Une confrontation directe entre Téhéran et Riyad conduira à l'effondrement de l'Arabie saoudite, selon le président de l'Institut russe du Proche-Orient.
Abou Dhabi a réduit les liens diplomatiques avec l'Iran, se démarquant légèrement de l'Arabie saoudite, de Bahreïn et du Soudan qui ont rompu leurs relations avec Téhéran.
Le Soudan a exprimé sa solidarité avec l'Arabie saoudite avant de condamner l'ingérence iranienne dans les affaires de la région et la négligence des autorités iraniennes qui ne s'étaient pas opposées aux attaques contre l'ambassade et le consulat saoudiens en Iran.
Exprimant ses regrets quant à l'aggravation des relations entre l'Arabie saoudite et l'Iran, la Russie se dit prête à jouer un rôle d’intermédiaire.
Suite à l'Arabie saoudite, Bahreïn a pris la décision de rompre ses relations diplomatiques avec l'Iran, rapporte l'agence BNA.