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Une majorité d'élus de la Chambre des représentants a voté le 13 janvier 2021 pour la mise en accusation formelle de Donald Trump pour «incitation à l'insurrection» lors des violences du Capitole.
Donald Trump, dont le mandat expire le 20 janvier, devient ainsi le premier Président de l’histoire des Etats-Unis mis deux fois en accusation.
Comment expliquer les émeutes pro-Trump du 6 janvier à Washington, qui ont mené à une deuxième procédure de destitution contre l’actuel chef d’État américain? John Rick MacArthur, journaliste, auteur et président du Harper’s Magazine, revient sur ces événements pour le Désordre mondial.
Le Congrès américain a voté en faveur de la destitution de Donald Trump pour incitation à l’insurrection lors des émeutes au Capitole. Mais à qui profite réellement le crime? Y a-t-il d'autres responsables de ces événements? Analyse de Gérald Olivier, journaliste et chercheur à l’IPSE, au micro de Rachel Marsden.
Plus de la moitié des Américains pensent que Trump devrait être démis de ses fonctions, selon un récent sondage. Alors que l’action et la personnalité du Président sortant divisent, côté républicain.
La Chambre des représentants américaine a approuvé une résolution visant à destituer le Président républicain pour avoir incité ses partisans à marcher vers le Capitole le 6 janvier. Trump est ainsi devenu le premier Président de l'histoire des États-Unis à faire l’objet d’une procédure de destitution deux fois.
Une semaine après l'irruption au Capitole par des manifestants pro-Trump, le Congrès américain a obtenu les voix nécessaires à la mise en accusation de Donald Trump, ce qui en fait le premier Président dans l'histoire des États-Unis à faire face à une procédure de destitution pour la deuxième fois.
Après quatre années de stabilité, la cote d’approbation de Donald Trump a chuté à 34%, la plus basse de son mandat, rapporte Politico. Cette perte de popularité s’explique par le récent assaut du Capitole par des partisans du Président sortant.
Le vote historique du Congrès fait de Donald Trump le premier Président américain à être visé à deux reprises par une procédure de destitution. À moins d’une semaine de la fin de son mandat, Trump peut-il véritablement être démis de ses fonctions? Réponse avec Jean-Éric Branaa, chercheur spécialiste des États-Unis.
Une majorité de membres de la Chambre des représentants ont approuvé mercredi la mise en accusation de Donald Trump pour «incitation à l'insurrection».
Mitch McConnell, chef de la majorité républicaine au Sénat est en colère contre Trump et reste indécis sur un vote de destitution, rapporte Fox News. D’autres cadres républicains ont déjà pris leurs distances avec le Président sortant.
Dans une lettre adressée à la présidente démocrate de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, le vice-Président Mike Pence a informé qu’il s’opposait à la destitution du Président Donald Trump. Il estime que ce procédé n’est pas «dans l’intérêt de notre pays ou conforme à notre Constitution».
Donald Trump a réagi ce mardi 12 janvier aux efforts du Parti démocrate visant à le destituer. Pour lui, ce n’est qu’une «chasse aux sorcières», rapporte le Washington Post.
Les Démocrates de la Chambre des représentants ont déposé un projet de résolution sur la destitution de Donald Trump, à neuf jours de la fin de son mandat, l’accusant d’incitation à l’insurrection.
Les Républicains à la Chambre des représentants ne suivront pas l’idée de la destitution du Président sortant Donald Trump, a déclaré le chef du groupe, Kevin McCarthy, promettant d’examiner avec Joe Biden «les moyens de travailler ensemble».
Après l’assaut du Capitole par des partisans pro-Trump le 6 janvier, les secrétaires d’État et du Trésor de l’administration du Président sortant ont débattu d’une possible invocation du 25e amendement de la Constitution américaine permettant de destituer le chef de l’exécutif, a rapporté CNBC, citant plusieurs sources.