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Le 9 décembre 2016 l'Assemblée nationale sud-coréenne a voté vendredi la destitution de la présidente sud-coréenne Park Geun-hye, mêlée à un scandale de corruption majeur.
Un tollé a éclaté en Corée du Sud après qu'il s'était avéré que l'amie
de la présidente Choi Soon-Sil, qui n'avait jamais occupé une fonction
officielle, s'ingérait dans les affaires d'États. Notamment, il a été
révélé que Mme Choi corrigeait les discours officiels de la présidente
avant leur publication officielle.
Selon un sondage organisé les 11 et 12 mars, près de 30% des Sud-Coréens interrogés estiment que l’ex-président du Parti démocrate Moon Jae-in pourrait devenir le nouveau président de la Corée du Sud.
Deux jours après sa destitution, la présidente sud-coréenne, Park Geun-Hye, a quitté le palais présidentiel pour rejoindre sa résidence privée.
La présidente sud-coréenne Park Geun-hye a été emportée par la «révolution des bougies», la Cour constitutionnelle ayant confirmé sa destitution, événement qualifié de victoire de la démocratie par Lee Buyeong, militant sud-coréen pour la paix, dans un entretien avec Sputnik.
Une journée ensoleillée, où plusieurs saluaient la décision de la Cour constitutionnelle visant à destituer la présidente sud-coréenne Park Geun-hye, a pris des allures d’enfer pour ses partisans, alors que des échauffourées ont fait plusieurs victimes, dont deux morts.
Deux personnes sont mortes dans la capitale sud-coréenne suite à des affrontements entre la police et les participants d’une manifestation ayant suivi la mise en accusation de la présidente Park Geun-hye.
Des heurts ont éclaté entre la police et des partisans de la présidente sud-coréenne Park Geun-hye rassemblés devant la Cour constitutionnelle après l’annonce de sa destitution. Deux manifestants ont trouvé la mort.
La Cour constitutionnelle sud-coréenne a confirmé vendredi, à l'unanimité des huit juges, la destitution de la présidente Park Geun-hye, votée en décembre par les députés après sa mise en cause dans une affaire de trafic d'influence.
La Cour constitutionnelle a entamé la procédure judiciaire visant à déterminer si la décision concernant la destitution de la présidente sud-coréenne prise par le parlement était légale.
Le scandale impliquant la présidente coréenne Park Geun-hye se poursuit. Des manifestants se sont réunis à Séoul ce samedi pour exiger la démission de la présidente. La destitution votée par l’Assemblée nationale du pays a fait sortir dans les rues jusqu’à 10 millions de personnes au cours des dix dernières semaines.
Dans la foulée d’un scandale retentissant impliquant la présidente sud-coréenne Park Geun-hye, des milliers de personnes réclament sa démission.
Le 9 décembre, le parlement sud-coréen a adopté à la majorité écrasante le projet de loi sur la destitution de la présidente Park Geun-hye. 78% des députés sud-coréens ont voté en faveur de la motion.
La présidente de Corée du Sud Park Geun-hye, dont la destitution a été votée aujourd’hui, a transmis ses fonctions au premier ministre Hwang Kyo-ahn, en vertu de la législation.
En Corée du Sud, des fonctionnaires ont libéré 234 ballons après un vote en faveur de la destitution de la présidente Park Geun-hye.
Mêlée à un scandale de corruption majeur, la présidente sud-coréenne Park Geun-hye s'est déclarée prête à démissionner et remet son sort entre les mains du parlement.
Le peuple sud-coréen semble ne plus pouvoir supporter la présidente Park Geun-hye et son amie proche Choi Soon-sil, fille d’un prédicateur local portant le surnom quasi officiel de la Raspoutine. Les deux femmes sont accusées de menacer la sécurité nationale du pays.
Mêlée à un grand scandale de corruption, la présidente sud-coréenne Park Geun-hye risque la destitution. L’opposition démocratique a déjà commencé la collecte de signatures à cet égard.
La capitale sud-coréenne est secouée par des protestations hebdomadaires monstres contre la présidente Park Geun-hye qui se bat pour sa survie politique, mais dont la cote de popularité est au plus bas.
Dans la foulée d'un scandale retentissant lié à l'arrestation de son ex-confidente, la présidente sud-coréenne Park Geun-Hye pourrait être convoquée en vue d'être interrogée. Jamais auparavant un président du pays n'avait subi un interrogatoire.
Dans la foulée d’un scandale retentissant lié à l'arrestation de son ex-confidente, des dizaines de milliers de Sud-Coréens réclament la démission de leur présidente.
L'enquête concernant l'affaire de corruption éclaboussant la présidente sud-coréenne se poursuit. Cette fois, deux de ses ex-assistants sont dans le collimateur de la justice sud-coréenne.