Pour améliorer le fonctionnement de notre site, accroître la pertinence des contenus informationnels et optimiser le ciblage publicitaire, nous collectons des informations techniques anonymisées sur vous, notamment à l’aide d’outils de nos partenaires. Le processus de traitement des données personnelles est décrit en détail dans la Politique de confidentialité. Les technologies que nous mettons en œuvre pour ce faire sont décrites en détail dans la Politique d’utilisation des cookies et d’enregistrement automatique.
En cliquant sur "Accepter et fermer", vous acceptez que vos données personnelles soient utilisées dans les buts décrits ci-dessus.
Vous pourrez revenir sur votre choix et retirer votre consentement en utilisant n’importe quel autre moyen indiqué dans la Politique de confidentialité.
L'élection du 45e président américain a commencé ce mardi 8 novembre.
Ce ne sont pas les Russes qui ont essayé de truquer les résultats de la présidentielle américaine en 2016, mais les principaux responsables de la communauté du renseignement américain, lit-on dans un rapport qui a fait scandale, détaillé et sous-estimé de l’ex-analyste de la CIA Ray McGovern qui a accordé un entretien à Sputnik.
L’élection présidentielle aux États-Unis appartient déjà au passé, mais envers et contre tout, la candidate démocrate Hillary Clinton qui l’a perdue croit toujours en sa victoire et ne voudrait changer qu’une seule chose dans sa campagne… les résultats du vote.
Barack Obama a toutes les chances de redevenir président, non plus des États-Unis, mais des playlists de Spotify. Une offre lui a été faite par le fondateur du service musical.
Le Parti démocrate américain a perdu l’élection présidentielle parce qu’Hillary Clinton n’était pas – et de loin – la meilleure candidature à la présidence des États-Unis, selon le fondateur du site WikiLeaks Julian Assange.
Selon un sondage, la plupart des électeurs américains estiment que le collège électoral, chargé de nommer lundi le prochain président du pays, doit confirmer la victoire de Donald Trump.
Plus de la moitié des Américains ne croient pas que les attaques des hackers aient aidé le président élu américain Donald Trump à remporter le scrutin présidentiel, révèlent les résultats d’une enquête réalisée par le Wall Street Journal et la chaîne de télévision NBC News.
Le 19 décembre, le vote des grands électeurs dans chaque État américain définira qui seront les prochains président et vice-président des États-Unis. Dans l’Arizona, les grands électeurs se plaignent de recevoir des milliers de messages qui les harcèlent de la demande de voter pour Hillary Clinton.
La victoire de Donald Trump a secoué les Etats-Unis et surpris le monde. Elle laisse les sondeurs et une grande partie des médias américains dans le noir.
L'élection surprise de Donald Trump à la Maison Blanche continue de faire des vagues aux Etats-Unis. Cette fois, près de 150 personnes qui protestaient contre la victoire du candidat républicain ont été interpellées à Los Angeles.
Lors de sa campagne électorale, le nouveau président US disait vouloir avoir de bonnes relations avec Vladimir Poutine et la Russie allant jusqu’à la reconnaissance de l’adhésion de la Crimée.
Pour la troisième nuit consécutive, des milliers d’Américains se sont rassemblées pour protester contre l'élection de Donald Trump au poste de président des USA.
Seulement quelques heures après avoir expliqué que les manifestants contre le dénouement de la présidentielle aux États-Unis étaient «incités par les médias», Donald Trump a déclaré qu’ils étaient des «petits groupes» qui souhaitaient tout simplement montrer leur passion pour leur pays natal.
Nous étions tellement dans notre tort, persuadé que la victoire d’Hillary Clinton serait facile dans sa course à la présidence US, tandis que Trump semblait être un candidat un peu trop extrême, voire grossier.
Les discours de Donald Trump lors de la course à la Maison Blanche ont été marqués par plusieurs promesses qu’il entendait tenir dès qu’il serait élu. L’heure est donc venue d’en citer quelques-unes.
Le lendemain de son élection au poste de président des États-Unis, le républicain Donald Trump a préféré ne pas s’entretenir avec les leaders étrangers qui avaient tenu par le passé des propos désobligeants à son endroit.
Malgré «une relation durable et spéciale basée sur les valeurs de liberté et de démocratie» entre Londres et Washington, la première ministre britannique a longtemps attendu le coup de fil de Donald Trump.
Malgré une promesse on ne peut plus claire, l’ex-Raging Bull a fait marche arrière et a renoncé à frapper au visage le nouveau numéro un américain.
Les leaders des pays de l'Union Européenne ont encore une fois montré leur «désunion», et c'est le dénouement de la présidentielle US qui a servi de décor à ce ballet des déclarations. Obligés de faire des discours officiels, ils n'ont pas toujours été très à l'aise dans cet exercice. En voici quelques exemples.
L’échec lors de la présidentielle aux États-Unis poussera-t-il l’ex-première dame américaine à accepter une offre d’emploi venue d’une ville sibérienne?
Chez le bookmaker Paddy Power, 91% des paris reçus misaient sur le candidat républicain, a informé le site de l'entreprise mercredi.